Une session du Conseil supérieur de l’enseignement technique et de la formation professionnelle s’est ouverte ce mardi 23 février à Lomé, sous le thème « Mobilisation nationale pour le développement de compétences techniques et professionnelles ».
Remettre l’enseignement technique sur les rails du développement et de la modernisation, c’est le défi actuel auquel doit faire face le Conseil , rappelle M. Georges Aïdam, ministre en charge de l’Enseignement technique. Le système de formation, insiste -t-il, doit répondre aux mutations actuelles et aux exigences du marché du travail. Il devra de ce fait, être basé sur des stratégies nouvelles ( intégration des NTIC dans les méthodes d’enseignement par exemple) privilégiant l’adéquation formation-emploi.
Pour sa part, souligne le ministre , le gouvernement , s’est employé à redynamiser le secteur de l’enseignement technique notamment à travers l’adoption en 2010 de la charte de partenariat public-privé, la création de plusieurs centres de formation, la transformation de certains centres de formation régionaux en lycées techniques…
Le Conseil supérieur de l’enseignement technique et de la formation professionnelle regroupe tous les acteurs du sous-secteur de l’enseignement technique et de la formation professionnelle: les acteurs publics, les acteurs socioprofessionnels ou privés. Ils se réunissent périodiquement en session en vue de réfléchir sur les problèmes qui minent le sous secteur.
La présente session ouverte ce mardi prend fin le 25 février prochain.
(Photo: table d’honneur à l’ouverture de la session)