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L’UTB et ORABANK soutiennent les initiatives économiques des jeunes avec 600 millions FCFA

 

L’Union Togolaise de Banque (UTB) et l’ ORABANK TOGO ont accordé un prêt de 600 millions de F CFA au FAEIJ pour renforcer les prêts accordés aux jeunes entrepreneurs.

 
L’accord a été signé par Victoire TOMEGAH DOGBE, ministre du développement à la base, de l’artisanat, de la jeunesse et de l’emploi des jeunes, Guy Sauvanet , DG d’ ORABANK TOGO et Yaovi Attigbé Ihou, DG de l’ UTB.
Les deux banques font  un prêt de 600 millions de Fcfa au FAEIJ sur 3 ans à un taux de 4,5% . Cette enveloppe destinée au produit « le Crédit Jeune Entrepreneur » (CJE) »permettra de financer 400 projets des jeunes .

 

Prêts garantis par l’ Etat

 

En appelant les jeunes à créer leurs propres entreprises, le gouvernement est bien conscient que la recherche de financement pour un jeune entrepreneur est une chasse au trésor.
Victoire TOMEGAH DOGBE qui estimait que « l’auto emploi identifiée comme présentant le plus grand potentiel d’emploi pour les jeunes constitue une piste sérieuse à explorer dans le cadre de la mise en œuvre de la politique de promotion de l’emploi au Togo » fait renaitre en 2012, le Fonds d’Appui aux Initiatives Économiques des Jeunes (FAEIJ).
Placé sous la tutelle de son ministère, le FAIEJ pallie les difficultés d’accès au financement des jeunes porteurs de projets d’entreprise en garantissant des prêts individuels et collectifs qui leur seront accordés .

 

Les institutions financières  donnent l’exemple

 

En Octobre 2013, en lançant le produit « le Crédit Jeune Entrepreneur » (CJE) », le FAEIJ avait noué un partenariat qu’ avec les  Institutions de Micro Finance à savoir WAGES, FECECAV, URCLEC, MUFEC et UCMECS.
Désormais, les Institutions Financières rejoignent l’initiative.
Même si les banques sont loin de se bousculer au portillon des start up togolaises, Victoire Tomégah-Dogbé les invite à s’associer au processus.

 

Le FAIEJ finance des projets de tous les secteurs d’activités, mais l’agriculture, la transformation agro-alimentaire, la production céréalière, l’artisanat, semblent être les priorités.

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