Search
Close this search box.
Search
Close this search box.

Colloque scientifique international Eau, Déchets, Développement Durable : Lomé abrite la 5édition

 Organisée par les Universités de Lomé et de Kara en collaboration avec l’université Senghor d’Alexandrie, les Ecoles des mines d’Alès et de Saint-Etienne, l’association Innovation et Technologies de Sfax en Tunisie,  la 5é édition du colloque scientifique international  Eau, Déchets et Développement Durable (E3D)s’est ouverte ce lundi à  Lomé, sous le thème:  » Quel type de coopération entre les universités et les industries pour un développement durable ».

Première du genre en Afrique subsaharienne, depuis 2008 où elle a été organisée pour la première fois en Tunisie,  cette rencontre vise un partage d’expériences entre enseignants- chercheurs ,  doctorants et étudiants en Master venus de France, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, du Bénin, de la Suisse, d’Haïti, de la RDC, de la Tunisie…

Prévue pour 5 jours  ( du 7 au 11 mars), la 5è édition du colloque international E3D , c’est en tout 8  conférences plénières et une centaine de communications.

Pour le  Professeur Martin Yelkouni, Directeur du Département Environnement à l’Université Senghor, le thème du colloque « interpelle le monde universitaire et le monde économique à dialoguer pour le développement durable ».

Même son de cloche chez le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Nicoué Broohm qui souhaite un partenariat renforcé entre le monde universitaire et les  acteurs économiques et industriels.

Le ministre en charge de l’Environnement, André Johnson, a pour sa part , rappelé les actions nocives du secteur industriel sur l’environnement et leurs conséquences (pollution de l’eau, de l’air, destruction du couvert végétal…) et souligné les efforts du gouvernement pour la protection de l’environnement ( loi cadre sur l’environnement, signature de conventions internationales…),  avant d’inviter les chercheurs  « à privilégier dorénavant la recherche-développement et à diffuser les résultats en vue d’une appropriation par les autres acteurs de la chaîne de développement ».

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *